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Roméo & Juliette – Angelin PRELJOCAJ

Roméo & Juliette – Angelin PRELJOCAJ

Pièce pour 24 danseurs
Création 1996 pour le Ballet Preljocaj
Durée 90 minutes


Chorégraphie Angelin Preljocaj
Décor Enki Bilal
Costumes Enki Bilal et Fred Sathal
Musique Serge Prokofiev, Roméo et Juliette
Création sonore Goran Vejvoda
Lumières Jacques Chatelet


Distribution en cours

Pièce remontée par Youri Aharon Van den Bosch, assistant et adjoint à la direction artistique
Choréologue Dany Lévêque


Coproduction Théâtre de St Quentin en Yvelines, La Coursive - Scène nationale de La
Rochelle, Les Gémeaux, Scène nationale de Sceaux, Théâtre de la Ville (Paris),
Fondation BNP-Paribas

Chorégraphie primée aux Victoires de la Musique en 1997


«Dans une improbable Vérone, non pas futuriste mais fictive, passablement délabrée, abritant une classe favorisée et dirigeante (la famille de Juliette) et une population misérable et exploitée (celle de Roméo), la rencontre des amants est proscrite et hors la loi; la milice omniprésente et musclée, chargée par la famille de Juliette de contrôler l’ordre social, n’est pas seulement l’image shakespearienne de la fatalité, c’est aussi l’emprise effective du pouvoir sur une des libertés essentielles de l’individu: celle d’aimer.
Roméo et Juliette, même s’ils se soumettent parfois, refusent chacun la façon de vivre qui est imposée dans leurs classes sociales, classes fermées à toute communication comme le dicte la milice des consciences, d’où le scandale de cet amour. Tous deux voudraient être ailleurs, chacun aspire à ce qu’a l’autre. Le choc passionnel va leur permettre de sauter le pas, d’oser échapper au sort qu’on leur avait tracé ».

Angelin Preljocaj

Cette pièce, première création d'Angelin Preljocaj pour grand ballet, est une plongée dans la force vitale de la jeunesse, sa radicalité, son engagement physique, ses affrontements, sa sensualité dévorante. Reprenant le mythe de Shakespeare le chorégraphe transforme la discorde familiale en affrontement social, fait disparaître les parents, laissant le conflit éclater entre jeunes gens : ce ne sont plus deux familles rivales qui s'opposent, mais une bande de jeunes exclus qui affronte la domination militaire du clan Capulet, au pouvoir. L'univers scénographique conçu par Enki Bilal est concentrationnaire, on y tue à coup de matraque, on s'y promène, martialement, avec des chiens de garde, tandis qu'éclate la musique de Prokofiev, aux scansions écrasantes, aux accents déchirants. Mercutio, provocateur inconséquent, et Tybalt, milicien sadique, s'affrontent virilement et les scènes de combat, athlétiques, rythment la tragédie. Mais les amants sont tout aussi instinctifs : Juliette, enfantine, décidée, choisit son Roméo en reniflant sa chair et lui, fasciné, se saisit d'elle comme on mord dans un fruit désiré ; leurs duos d'amour, sublimes, sont de longs apprivoisements, où ils apprennent à se toucher, se regarder, à danser côte à côte, puis profondément accolés. Comme dans Blanche Neige trente ans plus tard, l'histoire se raconte à travers des objets symboliques qui font naitre du mouvement : les seins trop raides d'une nourrice double, le foulard rouge du sommeil mortuaire, la lame d'un rasoir qui exécute, et les deux amants qui tour à tour cherchent à redonner vie au corps aimé. Dès la création de Roméo et Juliette, Angelin Preljocaj inventait une narration à partir des élans des corps: l'enfance, le jeu, le désir, sa violence, les chocs et les étreintes, tiennent lieu de verbe chorégraphique, et cette jeunesse radicale n'a pas pris une ride, préférant mourir que de transiger.

Agnès Freschel

EXTRAITS DE PRESSE

« La transposition de la pièce de Shakespeare est hautement dramatique, violente même, lors des interventions des escadrons de Tybalt, habillés, bottés et casqués de cuir noir. Les moments forts du ballet n’ont rien perdu de leur effet spectaculaire, notamment les ratonnades menées par Tybalt, l’agonie de Mercutio battu à mort par les milices…, le duo d’amour des deux héros…, et la scène finale où Roméo puis Juliette serrent désespérément contre eux le corps sans vie de l’autre, avant de se donner la mort… Ainsi interprété par une troupe contemporaine, le ballet d’Angelin Preljocaj paraît particulièrement spontané et moderne ».

Le Figaro, 15 juillet 2001

« …Le spectacle s’appuie sur une chorégraphie qui est un miracle de gestes toujours justifiés sur le plan dramaturgique, un enchantement de formes ciselées avec précision et élégance selon le style sévère et dépouillé de Preljocaj. Cependant il se permet des éclats de sensualité impérieuse dans les duos de la fenêtre, de la chambre à coucher et le duo final de la mort… La danse des deux nourrices est un bijou d’une perfection absolue. Les danseurs de la compagnie se sont totalement et magnifiquement fondus dans l’esprit de la chorégraphie et dans le style d’Angelin Preljocaj. Avec cette reprise, ce Roméo et Juliette confirme qu’il appartient à nos “classiques contemporains“ ».

Ballet 2000, Octobre 1996

«…Les duos expliquent pourquoi M. Preljocaj est un chorégraphe d’importance majeure. À ses moments les plus forts, il utilise le mouvement d’une toute nouvelle façon, évitant toute connotation narrative. Au mariage, Roméo et Juliette se lancent de deux chaises, une image qui est retravaillée à travers les lancées désespérées de leur duo final dans la tombe. Nous voici devant de la vraie chorégraphie, difficile à interpréter, mais rendue avec une virtuosité exemplaire». The New York Times, 23 Octobre, 1998 «…Les 90 minutes sont soutenues par des inventions chorégraphiques étonnantes et intensément musicales. La gestuelle robotique, classique des miliciens et des deux infirmières est possédée d’une sophistication et d’une séduction qui font bien plus peur que de simples exercices militaires. Le vocabulaire pour les deux amants fusionne une terreur humaine poignante avec un besoin charnel…. La chorégraphie est dansée d’une façon magnifique, du début à la fin, par la propre compagnie de Preljocaj. Ceux qui sont à la recherche d’une bonne vieille tragédie romantique seront déçus. Ce que nous donne Preljocaj dans cette pièce ambitieuse, imparfaite, irrésistible, est une poésie d’une autre sorte».

The Guardian, 5 octobre 2001

ANGELIN PRELJOCAJ

CHORÉGRAPHIE

Né en France en 1957, de parents albanais, Angelin Preljocaj débute des études de danse classique avant de se tourner vers la danse contemporaine auprès de Karin Waehner.


En 1980, il part pour New York afin de travailler avec Zena Rommett et Merce Cunningham, puis continue ses études en France auprès de la chorégraphe américaine Viola Farber et du français Quentin Rouillier.


Il rejoint ensuite Dominique Bagouet jusqu’à la création de sa propre compagnie en 1985. Il a chorégraphié depuis 48 pièces, du solo aux grandes formes.

Angelin Preljocaj s’associe régulièrement avec d’autres artistes parmi lesquels Enki Bilal (Roméo et Juliette, 1990), Goran Vejvoda (Paysage après la bataille, 1997), Air (Near Life Experience, 2003), Granular Synthesis (« N », 2004), Fabrice Hyber (Les 4 saisons…, 2005), Karlheinz Stockhausen (Eldorado - Sonntags Abschied, 2007), Jean Paul Gaultier (Blanche Neige, 2008), Constance Guisset (Le funambule, 2009), Claude Lévêque (Siddharta, 2010), Laurent Garnier et Subodh Gupta (Suivront mille ans de calme, 2010), Azzedine Alaïa et Natacha Atlas (Les Nuits, 2013)…

Ses créations sont reprises au répertoire de nombreuses compagnies, dont il reçoit également des commandes, c’est le cas notamment de La Scala de Milan, du New York City Ballet et du Ballet de l’Opéra national de Paris.

Il a réalisé des courts-métrages (Le postier, Idées noires en 1991) et plusieurs films, notamment Un trait d’union et Annonciation (1992 et 2003) pour lesquels il a reçu, entre autres, le « Grand Prix du Film d'Art » en 2003, le « Premier prix Vidéo-danse » en 1992 et celui du Festival de Vidéo de Prague en 1993. En 2009, il réalise le film Blanche Neige et en 2011 il signe, pour Air France, le film publicitaire L’Envol, qui reprend la chorégraphie du Parc. Il a également collaboré à plusieurs réalisations cinématographiques mettant en scène ses chorégraphies : Les Raboteurs avec Cyril Collard d’après l’oeuvre de Gustave Caillebotte en 1988, Pavillon Noir avec Pierre Coulibeuf en 2006 et Eldorado / Preljocaj avec Olivier Assayas en 2007.

Plusieurs ouvrages ont été édités autour de son travail, notamment Angelin Preljocaj en 2003, Pavillon Noir en 2006, Angelin Preljocaj, Topologie de l’invisible en 2008 et Angelin Preljocaj, de la création à la mémoire de la danse en 2011.

Au cours de sa carrière, il a reçu plusieurs reconnaissances parmi lesquelles le « Grand Prix National de la danse » décerné par le Ministère de la culture en 1992, le « Benois de la danse » pour Le Parc en 1995, le « Bessie Award » pour Annonciation en 1997, « Les Victoires de la musique » pour Roméo et Juliette en 1997, le « Globe de Cristal » pour Blanche Neige en 2009. Il est Officier des Arts et des Lettres, Chevalier de la Légion d’honneur et a été nommé Officier de l’ordre du Mérite en mai 2006. Il a reçu le « Prix Samuel H. Scripps » de lʼAmerican Dance Festival pour lʼensemble de son oeuvre en 2014.

Aujourd’hui composé de 24 danseurs permanents, le Ballet Preljocaj est installé depuis octobre 2006 au Pavillon Noir à Aix-en-Provence, un lieu entièrement dédié à la danse.

Photo © Joerg Letz

 

ENKI BILAL

DÉCOR ET COSTUMES

Né à Belgrade en 1951, Enki Bilal y passe dix ans de sa vie avant de rejoindre son père à Paris.

Après un passage aux Beaux-Arts, il se découvre une véritable passion pour la bande dessinée. Il publie alors Le Bol maudit dans le journal Pilote en 1972. Il y rencontre Pierre Christin, scénariste, avec lequel il entretient une collaboration fructueuse : ils réalisent ensemble plusieurs ouvrages dont La Croisière des oubliés (1975) et Les Phalanges de l’Ordre Noir (1979).

En 1980, il publie sa première série personnelle, dans Pilote, sous le titre de La Foire aux immortels.

Enki Bilal s’intéresse aussi au cinéma et dessine sur verre une partie des décors de La Vie est un roman, film d'Alain Resnais, en 1982.

En Janvier 1987, il obtient le Grand Prix du 14ème Salon international de la bande dessinée d'Angoulême. L’année suivante, l’artiste réalise sa première exposition au Palais de Tokyo, accompagné du photographe Josef Koudelka et du peintre-illustrateur-photographe-dessinateur Guy Pellaert.

En 1989, Enki Bilal achève son premier film, Bunker Palace Hôtel, avec à l'affiche Jean-Louis Trintignant et Carole Bouquet.

L’année suivante, il dessine les décors et costumes de Roméo et Juliette d’Angelin Preljocaj sur la musique de Prokofiev. Il dessine également les décors et costumes d'O.P.A. Mia, un opéra de Denis Levaillant créé pour le Festival d'Avignon.

Loin de délaisser le monde de la bande dessinée, il publie Froid équateur, dernier volet de la trilogie Nikopol. L’album est élu meilleur livre de l'année par le magazine Lire. Cette intrusion de la BD dans un palmarès littéraire est une première en France.

En 1998, le dessinateur publie Le Sommeil du Monstre, premier volume de la nouvelle trilogie tant attendue d'Enki Bilal. En 2004 paraît le troisième film de Bilal, Immortel, ad vitam : une adaptation libre de La trilogie Nikopol. Une nouvelle série d’albums paraît en 2009 avec Animal’z, suivi de Julia & Roem en 2011 et La couleur de l’air en 2014.

Aujourd’hui, Enki Bilal imagine et collabore pour de nombreux projets d’art contemporain. Récemment, son travail a été rendu visible au travers notamment de deux expositions: Les Fantômes du Louvre en 2012 au Louvre, et Mécanhumanimal, au Musée des Arts et Métiers en 2013 et 2014.

Il présente le concept Inbox à la Biennale de Venise en 2015.

Véritable visionnaire aussi pessimiste que doux rêveur, Enki Bilal est un artiste majeur de notre temps.

Photo © DR

 

FRED SATHAL

COSTUMES

Designer, plasticienne, née à Marseille en 1966, dont le travail s'incarne en diverses identités, sous lesquelles elle officie pour la haute couture, les arts de la scène et l'art contemporain.

Elle élabore des pièces rares, comme un philtre magique, qui penserait au bonheur en pansant l'individu.

Des oeuvres qui donnent à leurs détenteurs la possibilité d'échapper à l'uniformité. Une approche basée sur une pulsation profonde de liberté, superposant les idées, les techniques, les effets. Une route indéfinie ou seule sa capacité à suivre le flux de l'énergie guide le geste.

Fred Sathal ouvre la voie à son développement artistique, à Marseille avec le costume de théâtre. Elle s'installe à Paris au début des années 90, et présente sa première collection de prêt-à‐porter en 1994.

Immédiatement acclamée pour son originalité, ses mises en scène peuplées de créatures étranges, ses techniques particulières d'utilisation du volume, de la coupe, de la matière et de l'ornementation. Une douzaine de collections se succèderont pendant cette décennie.

En 2000, elle fait une entrée très remarquée dans le monde de la Haute Couture, produisant des pièces uniques, véritables oeuvres d'art. Son travail est maintenant dans les collections du Musée de la Mode de Marseille, au Musée Galliera et au Musée des Arts Décoratifs à Paris, au sein du Fonds National d'Acquisition d'Art Contemporain à Puteaux et dans plusieurs fondations.

L’univers de Fred Sathal dépasse de loin la mode. Au fil des années, elle travaille sur des installations et des expositions d’art contemporain. Elle conçoit et réalise aussi des costumes et décors de scène pour le théâtre et la danse.

Un livre monographique édité en 2009 «SATHAL CREATURES», éditions Images en manoeuvres, retrace 20 ans de créations protéiformes.

Photo © William Amor Communication

 

GORAN VEJVODA

CRÉATION SONORE

Compositeur, musicien, artiste / plasticien multimédia.


Né à Londres en 1956, il a étudié le hautbois au Conservatoire de musique de Belgrade avant de devenir une figure de la scène rock dans l'ex-Yougoslavie.


Au milieu des années quatre-vingt, il s'installe à Paris où il fonde le groupe Oko 3. Il s'intéresse à Brian Eno et édite un livre sur son travail, Zaobilazne Strategije / Oblique Strategies, en 1986. A Square of Silence, publié en 2008 à Milan par Emanuele Carcano, retrace trente ans de ses diverses créations dans l'art sonore.

«Capturer un carré de silence, libérer un cercle de son» est un paradigme qu'il choisit comme emblématique de son oeuvre. Ses travaux portent sur des domaines aussi variés que les phénomènes psycho-acoustiques, les paysages sonores, le silence, le bruit, l'origine et la disparition des sons et leurs traces invisibles, l'écoute non émotionnelle, les nouveaux rapports entre les mondes sonores et musicaux, le processus de création et le produit final qui en découle.
Intrigué par le sens profond du son, ses modes de représentation et de dissémination, il explore des domaines multiples: la science, l'art contemporain, la danse, l'hybridation, l'entropie culturelle, les systèmes génératifs, la radio, le net, le cinéma, les monoformes, la décroissance, l'écoute de n'importe où et les futurs hybrides culturels.

En 2004, il participe à l'exposition «Off the record/Sound» au Musée d'Art Moderne. Dans cette exposition, le public a pu entendre des compilations de musiques contemporaines et créations sonores sur des l'iPod placés dans la Cour du Couvent des Cordeliers à Paris, organisée comme un salon d'écoute.

Goran Vejvoda développe un parcours personnel sous forme de concerts, expositions, installations, conférences, disques, vidéos, photographies. Avec son groupe à géométrie variable Background, il réalise des performances interdisciplinaires au Centre Georges Pompidou, Palais de Tokyo, Grand Palais, GRM/Radio France, Fondazione Mora à Naples ou le Bluecoat à Liverpool. Le principe de « indétermination / heuristique» domine ces événements.

Il diversifie son travail de création à travers des musiques créées pour des documentaires, films, publicités, courts-métrages, défilés de mode, mais aussi pour le théâtre, des expositions et des pièces pour la radio.
En 2006, il crée avec Enki Bilal, le Ciné-Monstre, une performance basée sur le remix de ses trois longs-métrages. En 2011, il conçoit une bande sonore générative pour la version iPad de la BD Julia & Roem, ainsi que les bandes originales des films Tykho Moon et Immortel.

Il a composé les musiques pour les ballets d'Angelin Preljocaj: Le Parc, Casanova (Ballet de l’Opéra de Paris) et Roméo et Juliette (Lyon Opéra Ballet), et a mixé les musiques des films de Jacques Ossang: Le Trésor des Îles Chiennes et Docteur Chance. Il collabore avec les artistes Victoria Vesna, Tom Shannon, Jon Hassell, Kimiko Yosida...

Il était pendant 6 ans membre du jury du concours radiophonique Phonurgia Nova. En octobre 2012 il est invité en résidence d'artiste à la Villa Waldberta / Munich. Il vient de terminer un documentaire sur l’art sonore et poursuit plusieurs projets personnels.

Photo © Serge Vejvoda

 

JACQUES CHATELET

CRÉATION LUMIÈRES

Né le 7 août 1951 à Paris, Jacques Chatelet a d’abord été technicien sonorisateur pour Chicago Blues Festival (1978-79), puis régisseur général au Théâtre Victor Hugo de Bagneux (1979-81), et notamment pour le Festival de la Musique et les compagnies de danse invitées, musicien professionnel (accompagnateur, en temps que contrebassiste, de Môrice Benin), ainsi qu’auprès du Grand Magic Circus (1982).

En 1982, il s’oriente plus particulièrement vers la création de lumières. Dès lors, il réalise les éclairages de divers spectacles, ceux de Catherine Diverrès, Jean Rochereau, Hervé Diasnas, Nadine Hernu, Jacques Dombrovsky , Jacques Guedj, Jean-Louis Jacopin, Marc Monnet, Jean-Louis Wilhem, Wallonie Laurent Louyet, Serge Le Borgne, Jacques Dombrowski, Bernard Broca, Jean-Paul Comelin, Claire Servais, Sylvia Malagugini, Janos Sandor, Wladimir Skouratoff, Milko Sparemblek, Vitorio Biaggi, Jean-Pierre Aviotte, Luca Vegetti , Keneth Mac Millan, Oscar Araïaz, Léonide Massine, Fabien Tehericsen, Françoise Adret, Joël Borges, Anne-Marie Porras, Bernard Glandier, mais également, la Compagnie Bagouet, le Ballet de l’Opéra de Nice, l’Opéra Royal, la Compagnie Rafaël Djaim, le Ballet National Sodre de Montevideo, Percussions de Strasbourg et le Ballet du Nord.

Il a réalisé les lumières de nombreux spectacles d’Angelin Preljocaj : Marché noir, Peurs bleues, Larmes blanches, A nos héros, Le petit napperon bouge, Hallali Romée, Amer America, La peau du monde, Petit essai sur le temps qui passe, L’Anoure, Liqueurs de chair, Paysage après la bataille, Roméo et Juliette, Un Trait d’union, Annonciation, Le Spectre de la rose, Parade, Noces mais aussi des oeuvres du chorégraphe données au Lyon Opéra Ballet (Roméo et Juliette), au Bayersches Staatsballet de Munich (L’Oiseau de feu) et à l’Opéra de Paris (Le Parc, Casanova et Annonciation).

PARTENAIRES

Ballet Preljocaj,
Centre Chorégraphique National,

subventionné par
Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC PACA,
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur,
Département des Bouches-du-Rhône,
Communauté du Pays d’Aix,
Ville d’Aix-en-Provence

soutenu par
Groupe Partouche – Casino Municipal d’Aix-Thermal,
Fondation d’entreprise Total,
Individus et entreprises membres du Carré et du Cercle des mécènes.

BALLET PRELJOCAJ - PAVILLON NOIR
Centre Chorégraphique National
530 avenue Mozart CS 30824
13627 Aix-en-Provence - Cedex 01 - France

www.preljocaj.org

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